Le Conseil oléicole international (COI) était représenté par le chef de son Département Oléotechnie et Environnement, Juan Antonio Polo Palomino, à la cérémonie d’inauguration officielle de la quinzième édition du Master en oléiculture et oléotechnie de l’Université de Cordoue qui s’est déroulée le 3 octobre dernier.
Le Master en oléiculture et oléotechnie a lieu tous les deux ans depuis 1995 et est organisé par l’université de Cordoue (UCO), le ministère de l’Agriculture, de la Pêche, de l’Eau et du Développement rural du gouvernement régional andalou, l’IFAPA (Instituto Andaluz de Investigación y Formación Agraria, Pesquera, Alimentaria y de la Producción Ecológica), le CSIC (Consejo Superior de Investigaciones Científicas), le Centre international de hautes études agronomiques méditerranéennes (CIHEAM) par l’IAMZ, le COI et la Fundación Patrimonio Comunal Olivarero (FPCO).
La cérémonie d’inauguration s’est déroulée en présence de la vice-rectrice des études de troisième cycle de l’Université de Cordoue, Cristina Aguilar ; du chef du service Agriculture, Élevage, Industrie et de Qualité de la délégation territoriale de Cordoue, Juan Ramón Villegas ; du directeur de l’Institut agronomique méditerranéen de Saragosse (IAMZ-CIHEAM), Raúl Compés ; de la directrice de l’Institut d’agriculture durable de Cordoue (IAS-CSIC), Mª Leire Molinero ; du directeur de l’IFAPA de Cordoue, Darío Reina Giménez ; et du directeur du Master en oléiculture et oléotechnie de l’UCO, Enrique Quesada Moraga.
Dans son discours, Juan Antonio Polo Palomino a rappelé que la mission du COI était de contribuer au développement durable du secteur et qu’à cet effet, il n’y avait pas d’outil plus puissant que les personnes pour transformer une réalité. Il a ajouté que la formation des personnes pour relever les défis auxquels est confronté actuellement le secteur oléicole était une garantie de succès. Il a également encouragé les étudiants à tirer le meilleur parti de ce Master et à se former pour faire face au moment historique dans lequel se trouve l’agriculture, notamment à la nécessité de nourrir une population mondiale croissante, avec une surface utile constante et des ressources de plus en plus rares, face à de nouveaux défis tels que la réponse au changement climatique.